Valeur de rendement - valeur de marché | Bestag

Valeur de rendement vs. valeur résiduelle vs. valeur de marché/valeur vénale vs. valeur fiscale : quelle est la différence ?

Lorsque vous achetez, vendez, léguez ou faites évaluer un bien immobilier, vous êtes souvent confronté à des termes comme valeur de marché, valeur de rendement, valeur résiduelle ou valeur fiscale. Bien que ces termes puissent paraître complexes, chacun a une fonction précise dans le domaine de l'immobilier en Suisse. Mais que signifient-ils réellement, et dans quel contexte sont-ils utilisés ?

Dans cet article, nous expliquons en détail les principaux termes - de manière pratique, compréhensible et adaptée au marché suisse. Vous y verrez ainsi plus clair et pourrez prendre des décisions éclairées concernant votre bien immobilier.

Valeur de marché ou valeur vénale - La valeur pour l'acheteur et le vendeur

Lors de la vente d'un bien immobilier en Suisse, la valeur de marché - également appelée valeur vénale - est sans doute la valeur la plus pertinente. Mais que se cache-t-il exactement derrière le terme « valeur vénale » ? Comment la détermine-t-on ? Et quels sont les facteurs qui ont le plus d'impact sur cette valeur ?


Que dit la valeur de marché ?

La valeur de marché décrit le prix qu'un bien immobilier pourrait obtenir sur le marché libre dans des conditions normales et dans un délai raisonnable. Elle n'est pas basée sur des valeurs émotionnelles ou des attentes subjectives. En fin de compte, la valeur de marché est le montant le plus élevé qu'un acheteur est prêt à payer, en supposant qu'il est parfaitement informé et qu'aucune circonstance exceptionnelle n'influence le prix.

En Suisse, on parle également de valeur vénale - les deux termes désignent la même chose. Il existe différentes méthodes pour estimer cette valeur. La méthode d'évaluation hédoniste, utilisée par de nombreuses banques, assurances et plateformes d'évaluation, est particulièrement répandue. Elle consiste à utiliser les données de milliers de ventes immobilières réelles afin d'établir un modèle de comparaison statistiquement fondé.

Les évaluations hédonistes tiennent compte de caractéristiques objectives telles que la surface habitable, l'année de construction, l'emplacement, l'état, le nombre de pièces et de nombreux autres paramètres. Le résultat : une valeur proche du marché, basée sur des transactions réelles - et non sur des souhaits. Cette méthode est particulièrement adaptée aux appartements en copropriété et aux maisons individuelles dans les régions où le volume des transactions est élevé (disponibilité des données).

Vous voulez en savoir plus sur les évaluations immobilières ? Alors lisez notre article : Évaluation immobilière : comment connaître la vraie valeur.


Quels sont les facteurs qui influencent le plus la valeur de marché/la valeur vénale ?

La valeur de marché est dynamique et influencée par une multitude de facteurs externes et internes. Pour pouvoir estimer la valeur vénale de manière réaliste, il est important de comprendre quels sont les éléments qui pèsent le plus lourd dans la balance (cette liste n'est évidemment pas exhaustive) :

  1. Macro et micro situation
    La situation est incontestablement le facteur le plus important dans l'évaluation des biens immobiliers - aussi bien en comparaison internationale que spécifiquement en Suisse. On distingue à cet égard
    • Macro-situation : quelle région, ville ou commune ? Des villes comme Zurich, Genève ou Lausanne ont généralement des valeurs de marché plus élevées en raison de leur force économique, de leur infrastructure et de leur attractivité pour les nouveaux arrivants.
    • Micro-site : au sein d'une commune, la différence peut être grande - une rue de quartier calme avec vue, la proximité de lieux de détente ou une gare à distance de marche augmentent nettement la valeur. Le bruit, les ombres portées, les pentes abruptes ou une mauvaise desserte ont en revanche un effet négatif.
  2. État de l'objet et qualité de la construction
    L'état de la construction d'un bien immobilier a une influence directe sur sa valeur de marché :
    • Les biens neufs ou rénovés atteignent des prix plus élevés, car aucun investissement immédiat n'est nécessaire.
    • Les biens immobiliers nécessitant une rénovation font l'objet de réductions de prix, notamment lorsque des éléments de construction importants tels que le chauffage, le toit, les fenêtres ou les installations électriques sont obsolètes.
    • La qualité de la construction (construction massive vs. construction légère, matériaux de haute qualité, isolation) influence non seulement la longévité, mais aussi l'efficacité énergétique - un aspect de plus en plus important pour les acheteurs.
  3. Surface habitable et répartition des pièces
    Plus de surface ne signifie pas automatiquement plus de valeur - l'efficacité de la répartition des pièces est décisive. Un appartement de 4 pièces bien agencé avec une surface habitable de 95 m² peut avoir plus de valeur qu'un appartement tortueux de 110 m² avec des surfaces inutilisées.
    • Des plans ouverts, des pièces lumineuses, beaucoup de lumière naturelle et des espaces extérieurs (balcon, terrasse, jardin) augmentent l'attractivité.
    • De plus, les surfaces utiles (cave, grenier, places de parking) jouent un rôle de soutien dans le prix.
  4. Type de bien et demande
    Tous les types de biens immobiliers n'ont pas la même demande. Plus la demande pour un type donné est élevée, plus sa valeur de marché augmente :
    • Dans les zones urbaines, les appartements compacts en copropriété sont particulièrement appréciés.
    • Dans les régions plus rurales, les maisons individuelles avec jardin sont plus demandées.
    • Les logements sans obstacles ou adaptés aux personnes âgées sont également de plus en plus recherchés en raison de l'évolution démographique.
  5. Situation actuelle du marché et conditions de financement
    Le marché immobilier est soumis à des fluctuations économiques :
    • Des taux d'intérêt hypothécaires bas entraînent souvent une hausse de la demande - et donc des valeurs du marché.
    • En revanche, dans les phases de hausse des taux d'intérêt ou d'incertitude économique, les acheteurs sont moins enclins à payer des prix élevés.
    • Les interventions politiques (p. ex. prescriptions de financement plus strictes, régulations dans le droit du bail) ont également un impact à moyen et long terme sur l'évolution des prix.

Conclusion : la valeur de marché d'un bien immobilier est le résultat d'une interaction complexe entre de nombreux facteurs d'influence. Pour une évaluation fondée, il faut donc à la fois des données de marché actuelles et de l'expérience dans l'interprétation de ces paramètres.

La valeur de rendement - la base pour les biens immobiliers loués

Dans le monde de l'évaluation immobilière, la méthode de la valeur de rendement revêt une importance centrale lorsqu'il s'agit d'objets de rendement tels que des immeubles collectifs, des immeubles commerciaux ou des bâtiments à usage mixte. Contrairement à la valeur de marché, qui s'oriente sur l'offre et la demande, la valeur de rendement se base sur la performance économique d'un bien immobilier - c'est-à-dire sur ce qu'il peut générer comme revenus locatifs. Cette méthode d'évaluation est donc essentielle pour les investisseurs et les propriétaires qui misent sur des revenus à long terme.


Comment la valeur de rendement est-elle calculée ?

Le calcul de la valeur de rendement se base sur la capacité de rendement à long terme d'un bien immobilier. Tout d'abord, les revenus locatifs nets sont déterminés : Pour ce faire, toutes les charges sont obligatoirement déduites des revenus locatifs bruts. Il s'agit notamment des frais de chauffage, d'eau, d'électricité et, si le propriétaire les supporte, des frais de gestion. Seul le montant restant représente le revenu réel que le bien immobilier génère année après année.

Après la détermination des revenus locatifs nets, une évaluation du potentiel locatif est effectuée. Existe-t-il ce que l'on appelle des réserves de loyers ? En d'autres termes, si le loyer actuel est nettement inférieur aux loyers comparatifs locaux, un ajustement pourrait être possible à l'avenir, ce qui augmenterait la valeur de rendement. A l'inverse, une correction à la baisse peut également s'avérer nécessaire - par exemple si des projets de construction importants sont en cours dans les environs, si de nouveaux axes de circulation sont prévus ou si un changement de zonage menace de réduire l'attractivité de l'immeuble.

Une fois que les revenus locatifs nets durables ont été déterminés, l'élément central suivant du calcul a lieu : le choix du taux de capitalisation. Ce taux reflète le risque et le rendement que les investisseurs attendent d'un bien immobilier. Il n'existe pas de taux de capitalisation unique, mais il dépend de nombreux facteurs :

  • Le risque du bien immobilier en termes de rénovations futures ou de vacance potentielle.
  • Le nombre d'unités résidentielles ou commerciales, l'âge du bâtiment ainsi que sa localisation et le volume d'investissement total.
  • Qu'il s'agisse d'un bien immobilier purement résidentiel ou de locaux commerciaux, les biens commerciaux sont considérés comme plus risqués et présentent souvent des taux de capitalisation plus élevés.
  • L'appétit pour le risque de l'investisseur concerné ainsi que le taux de rendement minimal qu'il souhaite obtenir.

L'expérience montre que les taux de capitalisation en Suisse se situent dans les fourchettes suivantes :

  • 2,5 % pour les grands complexes résidentiels neufs (volume d'investissement supérieur à 50 millions de CHF)
  • jusqu'à 7-8 % pour les petites propriétés vétustes dans les zones rurales

Plus le taux de capitalisation est bas, plus la valeur de rendement est élevée - et inversement. La formule de calcul proprement dite est simple :

🧮 Valeur de rendement = revenu locatif net / taux de capitalisation

Exemple de calcul :

  • Revenu locatif net : CHF 40'000 par an

  • Taux de capitalisation : 3,5 %

  • Valeur de rendement = CHF 40'000 / 0,035 = CHF 1'142'857

Ce résultat montre quelle est la valeur actuelle du bien immobilier du point de vue d'un investisseur sur la base de ses revenus. Pour les vendeurs et les acheteurs d'objets de rendement, la valeur de rendement est donc une valeur décisive - elle contribue à déterminer si un bien immobilier est perçu comme attractif ou comme risqué.


Quand la méthode de la valeur de rendement est-elle utilisée ?

La méthode de la valeur de rendement est toujours appropriée lorsque l'accent est mis sur le rendement du capital - c'est-à-dire pour les biens immobiliers dont l'objectif premier est de générer des revenus réguliers. Cela concerne entre autres 

  • Immeubles d'habitation
  • Immeubles de bureaux et industriels
  • Magasins
  • Parkings ou entrepôts
  • Immeubles à usage mixte

Il est important de faire des hypothèses réalistes - par exemple sur la structure des locataires, l'évolution future du marché ou le risque de vacance. Une estimation trop optimiste des loyers ou un taux de capitalisation trop bas peuvent fausser le résultat.

Conclusion : la valeur de rendement montre ce qu'un bien immobilier peut « faire » - et constitue donc une base solide pour tous ceux qui misent sur le rendement. Qu'il s'agisse d'achat, de vente, d'analyse de patrimoine ou de décisions de financement : Celui qui veut évaluer de manière réaliste un objet de rendement ne peut pas passer à côté de la valeur de rendement.

La valeur résiduelle : un outil clé pour les promoteurs immobiliers

Dans le cadre du développement immobilier, la valeur résiduelle joue un rôle essentiel, surtout pour les projets de nouvelles constructions, les changements d'affectation ou l'utilisation de terrains réservés à la construction. Contrairement aux valeurs de marché ou de rendement, qui se basent sur des biens immobiliers existants, la méthode de la valeur résiduelle se concentre sur le potentiel futur d’un bien. Elle permet de répondre à une question cruciale d'un point de vue économique : quel est le prix maximal qu'un terrain peut atteindre pour qu'un projet de construction reste viable financièrement ?

Cette méthode s'adresse avant tout aux investisseurs professionnels, aux promoteurs immobiliers et aux développeurs de projets qui travaillent avec des chiffres et des scénarios avant de donner le premier coup de pioche. La valeur résiduelle est également régulièrement utilisée pour les biens à démolir pour lesquels une nouvelle construction de remplacement est prévue ou pour la reconversion d'anciens sites industriels.


Importance de la valeur résiduelle dans le calcul des terrains

Lors du développement d'un projet, le prix du terrain est souvent le poste individuel le plus important du budget - et en même temps la variable la plus incertaine. Il est donc crucial pour les développeurs de connaître un prix maximal réaliste pour un terrain. La valeur résiduelle indique précisément ce montant : C'est le prix maximum qu'un investisseur peut payer pour le terrain sans que la rentabilité du projet ne soit menacée.

Les domaines d'application typiques de la méthode de la valeur résiduelle sont les suivants :

  • Nouvelles constructions d'immeubles ou de lotissements
  • Changement d'affectation d'immeubles existants (p. ex. bureaux en logements)
  • Démolition et construction de remplacement
  • Densifications, p. ex. annexes ou surélévations
  • Réserves stratégiques de terrains à bâtir

Ce qui est décisif, c'est que la valeur résiduelle ne reflète pas la valeur vénale actuelle du terrain, mais sa valeur potentielle compte tenu d'une utilisation prévue. Elle dépend donc fortement des attentes du marché, des coûts de construction et des conditions-cadres réglementaires (p. ex. plan de zone, règlement de construction).


Comment fonctionne exactement le calcul de la valeur résiduelle ?

Le calcul suit un principe simple :

🧮 Valeur résiduelle = produit potentiel de la vente - coûts du projet

Dans ce contexte, le produit de la vente est constitué des recettes escomptées (par exemple la vente d'un appartement ou la valeur de rendement en cas de location), tandis que les coûts du projet comprennent tous les investissements, dont :

  • Coûts de construction (y compris la réserve)
  • Honoraires d'architecte et planification
  • Frais annexes de construction
  • Frais de financement
  • Frais de commercialisation

Ce qui reste est le montant qui peut théoriquement être payé pour le terrain.

Rechenbeispiel:

Ein Investor plant den Bau eines Mehrfamilienhauses mit vier gleich grossen Wohneinheiten. Pro Wohnung wird ein Verkaufspreis von CHF 600’000 erwartet. Das Gebäude umfasst 1’500 Kubikmeter, bei regional üblichen Baukosten von CHF 1’000 pro Kubikmeter.

Residualwert = (4 × CHF 600’000) – (1’500 × CHF 1’000)

Residualwert = CHF 2’400’000 – CHF 1’500’000 = CHF 900’000

Das heisst: Nur wenn der Kaufpreis für das Grundstück unter CHF 900’000 liegt, bleibt das Projekt wirtschaftlich tragbar – vorausgesetzt, es gibt keine weiteren versteckten Kosten.

La valeur fiscale - importance pour l'administration fiscale

Lorsqu'il est question d'évaluation immobilière, la plupart des gens pensent immédiatement à l'achat ou à la vente. Mais les questions fiscales requièrent également une valeur immobilière, à savoir la valeur fiscale. Celle-ci se distingue nettement de la valeur du marché et revêt une importance capitale pour l'administration fiscale. Même si elle ne joue pas un rôle direct lors de la vente elle-même, elle ne doit pas être sous-estimée lors de l'imposition de la fortune ou de la taxation en cas de succession.


Quand la valeur fiscale est-elle utilisée ?

La valeur fiscale est fixée par les autorités fiscales cantonales et actualisée à intervalles réguliers. Elle sert de base à différents types d'impôts :

  • Impôt sur la fortune : la valeur fiscale du bien immobilier est ajoutée à la fortune imposable du propriétaire.
  • Impôt sur les gains immobiliers : en cas de vente, un impôt est dû sur la différence entre le prix de vente et le prix d'achat. Si l'achat se situe loin dans le passé, la valeur fiscale peut être prise en compte. Exemple dans le canton de Zurich : si l'achat se situe plus de 20 ans dans le passé, la valeur fiscale d'il y a 20 ans est utilisée comme prix d'achat.
  • Impôt sur les successions et les donations : en cas de transfert du bien immobilier, la valeur fiscale est également utilisée.
  • Impôt sur le revenu : dans le cas d'un logement habité par son propriétaire, la valeur dite locative est calculée sur la base de la valeur fiscale.

Le mode de calcul exact varie d'un canton à l'autre et se base sur des procédures d'évaluation standardisées par les autorités - souvent aussi en utilisant des facteurs forfaitaires ou des approches réduites de la valeur de rendement. Pour les propriétaires, cela signifie que même si la valeur de marché du bien immobilier augmente, la valeur fiscale n'est pas automatiquement adaptée.


Pourquoi la valeur fiscale et la valeur de marché divergent souvent

Dans la pratique, la valeur de marché et la valeur fiscale divergent souvent de manière significative - et ce pour de bonnes raisons :

  • Objectif : La valeur fiscale doit fournir une base aussi uniforme, stable et équitable que possible à des fins fiscales - et non refléter le prix de vente.
  • Les dates d'évaluation : Les valeurs fiscales ne sont souvent actualisées que toutes les quelques années. Sur des marchés dynamiques, cela entraîne des distorsions.
  • Méthodologie : l'évaluation est simplifiée et conservatrice afin de garantir l'égalité des droits. Les tendances actuelles du marché, les spécificités de la situation ou les motifs d'achat émotionnels ne sont pas pris en compte.

Dans de nombreux cas, la valeur fiscale est inférieure de 20 à 40 % à la valeur du marché. Cette situation est délibérément prévue dans le cadre de la systématique fiscale. Néanmoins, cela peut conduire à des malentendus chez les propriétaires - par exemple lorsque la valeur fiscale est assimilée à tort au prix réalisable sur le marché.

Conclusion : la valeur fiscale n'est pas une valeur de vente, mais une valeur de référence fiscale. Celui qui souhaite vendre ou léguer son bien immobilier ne devrait donc jamais se fier uniquement à la valeur fiscale.

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