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Vente immobilière: comment les avocats évitent les conflits d’intérêts?

Conseiller ses clients est un devoir de l’avocat. Pourtant un conseil anodin peut vite paraître biaisé. Le conflit d’intérêts guette…

Pour rappel:

L’article 12 let. c LLCA impose à l’avocat d’éviter tout conflit entre les intérêts de son client et ceux des personnes avec lesquelles il est en relation sur le plan professionnel ou privé.

Le public demandant de plus en plus de transparence, quelles précautions prendre afin de répondre à un client cherchant conseil pour une vente immobilière?

Penchons-nous sur quatre pratiques:

  1. Avoir un arrangement rémunéré avec un courtier 
  2. Recommander un ami courtier sans arrangement rémunéré 
  3. Recommander une ou plusieurs grandes enseignes de courtage 
  4. Passer plusieurs heures à rechercher le meilleur courtier pour son client

Dans les deux premiers scénarios, la recommandation est biaisée et crée un risque pour l’avocat. Le troisième scénario est transparent et sans risque pour l’avocat, mais il n’est pas d’une grande aide pour le client. Pour finir, le quatrième est une perte de temps, sans garantie de succès qui ne neutralise même pas les risques…

Une solution idéale fournirait à l’avocat

  • une évaluation juste du bien à vendre
  • le meilleur courtier objectif pour cette vente
  • de façon non-biaisée et transparente, garantissant ainsi l’absence de conflit d’intérêt

Grâce à la combinaison d’outils analytiques et d’avis d’experts présentés de manière transparente, Bestag est cette solution idéale. De plus, elle est gratuite et économise du temps à l’avocat ainsi qu’au client.

Chers avocats, chers notaires, quelle est votre approche et comment conseillez-vous vos clients sans conflit d’intérêts? Vos commentaires nous intéressent, et si vous voulez en savoir plus, nous sommes à disposition.

«Wie viel ist meine Immobilie wirklich wert?»